My Little Paris

Six créateurs à suivre

Première mission : découvrir la nouvelle ligne de baskets imaginée par Promod avec le calligraphe Nicolas Ouchenir et faire customiser ses baskets le samedi 21 février à l'atelier que l'artiste animera de 14h à 18h à la boutique Promod Opéra. Pour la suite, on vous dévoile nos artistes de la semaine.

  • 19 Redécouvrir la calligraphie
    avec Nicolas Ouchenir
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    Redécouvrir la calligraphie avec Nicolas Ouchenir

    Son job ? Donner une âme aux lettres.
    Son actu ? Un abécédaire en stickers pour customiser comme bon vous semble la collection de baskets la plus branchouille du moment signée Promod.
    Autodidacte, Nicolas Ouchenir a remis l’art de la calligraphie au goût du jour. Alors qu’elle tombait en désuétude, il a ajouté à ses lettres de noblesse la touche de modernité qui lui manquait. Depuis, de Louis Vuitton à Garance Doré, on s’arrache sa patte inimitable.
    Parce qu’il signe une collab’ à tomber autour de quatre paires de baskets, il vous attend le samedi 21 février de 14h à 18h, à la boutique Promod Opéra, pour présenter son travail et dessiner directement sur vos baskets à vous. 
    How cool is that ?
  • 19 Ouvrir l’oeil
    avec Alexandre Dupeyron
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    Ouvrir l’oeil avec Alexandre Dupeyron

    Du désert algérien aux rues de Téhéran, de la moiteur de Singapour aux vallées de Bilbao, Alexandre Dupeyron n’est pas du genre à faire du surplace ni à mettre son appareil-photo en mode “vacances”. Bilan : des clichés qui illuminent les pages de publications internationales. Et un travail personnel qui interroge la notion de flou. Nous, on commencerait bien notre collection de photos contemporaines avec sa série, “l’Étale des saisons” : la nature y est sublimée, empruntant tour à tour son style à une toile de Sisley ou à un plan de Lynch. Bref, on a flashé sur lui.
  • 19 Tourner autour du pot
    avec Émilie Pedron
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    Tourner autour du pot avec Émilie Pedron

    Pour vous, le grès, c’était réservé au service de votre mémé bretonne. Biiiiiip. Tout faux. une fois que vous aurez découvert le travail de la céramiste Émilie Pedron, vous serez obligée de revoir votre jugement. Regarder ses pichets et ses bols, c’est comme s’offrir un grand moment de zen. Point barre. Quant à ses porcelaines, elles se parent d’éclats évoquant la voie lactée ou la robe d’un léopard. Vous reprendrez bien une tasse de cool ?
  • 19 Se rafraîchir
    avec Y’a pas le feu au lac
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    Se rafraîchir avec Y’a pas le feu au lac

    La montagne, ça vous gagne ! C’est dans le Jura que Grégory et Marie Bodel ont installé leur maison d’édition d’objets design. Mus par la présence des bois de leur région et par une fantaisie qui lorgne du côté de l’enfance, ils invitent des designers à concevoir des pièces qui boostent le quotidien. Certes, Y’a pas le feu au lac, mais il y a quand même urgence à zyeuter leurs créations. On adore la série Kart, des petites voitures en bois de charme pour faire rouler l’apéro. Ou Ha la ville, des boîtes de rangement pour la cuisine qui empruntent aux gratte-ciels de Shanghaï ou de Dubaï. Ouvrez l’oeil : ils dégainent leur prochaine collection en mars.
  • 19 Courir les rues
    avec l’agence Chartier-Dalix
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    Courir les rues avec l’agence Chartier-Dalix

    Besoin d’un grand bol d’inspiration ? On vous propose de traverser Paris sur les traces de l’agence d’architectes Chartier-Dalix. En plus de vous dégourdir les jambes, cela risque de vous chatouiller l’imaginaire. On commence à Boulogne-Billancourt où une école bâtie en espaliers fait la part belle à la nature et à la biodiversité. Et puis hop, direction le 18ème pour zyeuter le chantier d’entrepôts conçus comme autant de cabanes à toits pointus où soleil et paysages se réfléchissent. Puis halte à la Porte des Lilas : un bâtiment à la silhouette élancée y abrite un foyer de jeunes travailleurs et une crèche. Archi-stylé tout ça...
  • 19 Démêler les crayons
    Virginie Morgand
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    Démêler les crayons avec Virginie Morgand

    Graphiste et illustratrice, Virginie Morgand a de quoi vous coller de la vitamine plein les rétines en cette période frisquette. Avec son style rétro et sa palette qui n’est pas sans évoquer les teintes chaudes d’un Raoul Dufy, elle envoie balader la grisaille. Pépettes aux hanches rondes, rouge vermillon, jaune soleil et autres bleu cyan vous tendent les bras. Une partie de son travail est exposée à la Slow Galerie dans le XIème arrondissement. Le ciel gris ? Mais quel ciel gris ?

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